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Pim's et Café . Schtroumpf et Clope .

24 août 2008

24. Return

Je suis sur Facebook. J'ai cédé à la tentation.

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1 juillet 2008

23. I Love Paris

Paris Poète

Tout, dans cette ville,
a une qualité inanalysable
qui permet de dire sans hésitation :
"Ca c'est Paris" [...]
Pourquoi il en est ainsi,
je n'en sais rien,
mais Paris imprime sa marque
sur tout ce qui lui appartient.

JULIEN GREEN, Paris.

Comme j'errai, le nez au vent,
Dans la rue au tableau mouvant,
En flaneur naïf et savant,

Je vis sur l'asphalte élastique
D'un trottoir aristocratique
Une vivante et fantastique

Parisienne au pas léger,
Type dont rêve l'étranger !

LAUTREAMONT, Premiers poèmes, "Fantaisies parisiennes"

Cette Babel de l'art,
à laquelle on rêve de très loin,
et où l'on accourt
de tous les coins.

ALEJO CARPENTIER, Chroniques

On vient à Paris chercher la beauté,
l'intelligence, l'objet bien fait, la joie,
le plaisir et les illusions.

ELSA TRIOLET, Pour que Paris soit

Paris est une ville livre, une ville écrite,
une ville imprimée. Une ville-livre faite de milliers
de livres. Une ville dont on pourrait dire qu'elle
est le rêve d'une bibliothèque, si l'on pouvait
attribuer à une bibliothèqye la faculté de rêver.

LEONARDO SCIASCIA, Mots Croisés

Doisneau11
Doisneau.

18 juin 2008

22 . Liberté !

THIS IS THE END .

6 juin 2008

21. On va inventer un truc affreux. Genre, une mort.

SATC

Je dois être une des seules de France à ne pas avoir suivi quand elle était sur petit écran la série tant adulée des jeunes femmes "Sex and the City". Et ce n'est pourtant pas faute d'en avoir entendu parler. Mais désolé, moi, en deuxième partie de soirée, JE DORS DEJA. Mais là n'est pas la question. Donc, devant mon ignorance télévisuelle et fashionable, je décide hier soir d'aller voir Sex and the City, le film.

Déja, pas de chance, pathé ne le passe pas en VO. Bon ok, tant pis, on se contentera des dialogues français. Donc, me voila assise. Prète à découvrir l'univers New-Yorkais de cette chroniqueuse devenue écrivain (d'après ce que j'ai compris des commentaires de la voix off de Carrie). Bon, ok, déja, j'vois la nana et hop, j'me dis que plus tard, je serais elle. Déja, j'ai presque les même yeux, aller tous crever bandes de jaloux. Bon euh par contre, Sarah Jessica Parker, ben j'la trouve moche sinon. La tête allongée, une protubérance inquiètante au niveau du menton, un gros pif. Bon OK, elle a des cheveux canons la fille. Enfin, quand ils sont détachés, sinon, c'est tête d'amande. BREF, la femme ne fait pas le film. Quoique ...

Enfin, une bien jolie comédie romantique, pleine de cynisme et de discussions tendancieuses. Vogue, Dior, Mexique, Botox et Vivienne Westwood. La parfaite recette pour parvenir à nous coller un sourire sur la tronche pendant tout le film. Autant dire, pendant longtemps quand même (2h25). Et d'ailleurs à ce propos, vous ne trouvez pas qu'on a particulièrement l'air stupide quand on se rend compte que depuis 1/4 d'heure, notre visage ressemble à celui d'un smiley msn ? BREF.
J'ai pleuré. J'pleure tout le temps devant une comédie romantique, et même quand les gens se retrouvent à l'aéroport dans Love Actually, je pleure. Donc, c'la doit être le critère pour moi, d'une bonne comédie romantique. Donc, bingo pour Sex and the City.
Je ne m'apesantirais pas sur les séquences "Ultra mode" comme le shooting en robe de mariée, la semaine de la mode, le vidage et remplissage du dressing de Carrie etc... J'adore.

Non, sans rire, plus tard, je serais critique. D'absolument tout. Et moi aussi j'aurais un dressing grand comme mon appart' actuel.
Et puis en passant, magnifique Ste Louise de St Louis.

2 juin 2008

20. On the road again

Bani_re_papillons

Trois jours, trois coups d'coeur musicaux :

peupleVendredi soir, LE PEUPLE DE L'HERBE :
Prestation que j'attendais depuis que j'les avais vu en live à Solidays. Impatience assouvie vers 2h du mat'. Revoila les gros blocs de son et l'unique trombonne. C'r'parti pour 1h de mélange entre ce son si particulier de la trompette calqué sur celui des platines et celui des voix des chanteurs. Raaalala, quelle ambiance !

up_TheHives_TheBlackandWhiteAlSamedi soir, THE HIVES :
Ils nous ont prévenu dès le début "Le meilleur groupe du monde" (en français dans le texte!) Et bien, promesse tenue. Dès les premières notes, on décolle, et nos jambes twistent toutes seules, nos bras s'élèvent au rythme des (tick tick tick tick tick tick tick) BOUM de la batterie. Prestance incroyable, jonglage avec micro et saut de 3mètres ... et tout d'un coup, j'adore la Suède.

0710_hocuspocusalbumDimanche soir, HOCUS POCUS :
Juste wow, savant mélange de HipHop, soul, jazz et rap, juste à apprecier. Et puis, performance live tout simplement géniale. J'aime quand le bruit des instruments rencontre celui des sets où se confrontent les vynils.

3 jours, 3 coups d'gueule (malgré tout):

- La poussière sur le site, vive les kleenex
- Les djembès, de 2h du mat' à 10h. NON STOP sur le camping.
- Le concert trop mou de Tiken Jah Fakoly.
 


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30 mai 2008

19. Ah putain !

Portable volé hier soir, alors que soirée qui prenait un bon tour !
Pfiou, c'est l'hom de ma vie qui s'en est allé hier soir, vers les 2h du matin.
Vais devoir reprendre l'habitude d'un nouvel hom. Un sage nokia.

nokia_2630

22 mai 2008

18. Billet quotidien

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Attention, Ladies and Gentlemen, vous allez pénétrer dans l'enfer d'une hypokhagneuse, le temps d'une semaine de concours, blancs certes, mais quand même. Rideau.

Jeudi 22 mai : première épreuve - Géographie
7h32. J'me réveillé à la bourre, dans une demi heure, je dois être assise à ma table, le sujet sous le nez, la copie double prète. Je suis dans mon lit, mon réveil n'a pas sonné. Les hypokhagneux sont des gens normaux, qui aiment dormir longtemps le matin. Branle bas d'combat dans l'appart', robe, chocolat, sac. On est parti en voiture. On arrive et forcément, pas d'place dans le fond, pour la géo c'est bien dommage. Donc devant. Fatalement. Et c'est parti pour 5h de devoir officielles, 3h15 pour moi. Ben oui, désolé mais "L'unité et la diversité géographique de l'espace du Moyen Orient" ne m'a pas tenu en haleine plus longtemps. Et puis pour un DS de géo, presque deux copies doubles, c'est bien. A d'main pour de nouvelles aventures !

Vendredi 23 mai : seconde épreuve - Histoire
Cette fois si je suis parfaitement à l'heure voire en avance. Il ne s'agirait pas de se faire avoir à nouveau et d'se retrouver devant. Les bonnes places sont donc pour nous. Et hop, nous voila partis, à commenter pendant 5h une chartre de fondation d'une abbaye bénédictine, près de Domfront. Voila pour les détails. J'ai même mangé du chocolat bio pendant l'épreuve. Sinon, ça a été. Pour quelqu'un qui avait révisé la veille.

Samedi 24 mai : troisième épreuve - Latin
Et si j'vous disais que ce DS j'l'ai fais à trois ?

Lundi 26 mai : quatrième épreuves - Philo
La bête noire est passée. J'ai failli crever des deux mains, et j'ai fini inondé sous une pochette plastique remplie d'eau. J'adore la philo.

Mardi 27 mai : cinquième épreuve - Lettres
Dieu existe les enfants. Enfin, réponse dans l'article des résultats hein. En attendant, c'est moi qui ai passé Une Saison en Enfer.

Mercredi 28 mai : sixième épreuve - Anglais
6h les enfants. Non, 5h les enfants ! Qu'est ce qu'elle nous emmerde avec son échalier et John Thomas !

Jeudi 29 mai - dernières épreuves - Culture antique et Espagnol
Sans commentaire ... 

18 mai 2008

17. I'm not alone

y1pr19WW__5NQ3AMx7xZ187UTKv19ucFOAbuEHpzVsqSYzbOhZ1874NPlouOWRaEEOj3j5Z_GGfP8Q61A3egyZvqHbBH0Br7H7UComme ça fait plaisir de revenir. Un an est passé depuis la dernière fois, et à nouveau, je me retrouve sur ce tapis de scène blanc, devant des gens. Et je vais leur présenter ma danse. Notre danse. En même temps de retrouver ce tapis blanc dehors, et le noir à l'intérieur, on retrouve les danseurs avec lesquels ont s'est construit. Corporellement parlant. Et peut-être que c'est eux qui me connaissent le mieux finalement. Il faut voir les mots/maux qui s'échangent en cours de danse. Ca vous soude des êtres humains tous ensemble. Comme jamais. Et c'est drôle de se séparer de ces gens, en se disant que chacun fait sa vie de son côté maintenant. En passant des fois, plusieurs journées sans repenser à tout ça. Plusieurs journées sans danser. Comme tout ça me manque. Cette ambiance de "ce soir, on a un spectacle au théâtre", de "on va en pratique ou en théorie d'abord?" ou encore de "Audrey, prends conscience de ton dos !!" Et puis toutes ces musiques inconnues du grand publique mais qui nous semblent tellement familières qu'on reconnait aussitot Art Of Noise, René Aubry ou Romano. Cette agitation si particulière à l'approche du Festival de mai. Les ateliers, les représentations et la grande rencontre du samedi. Déja, la semaine est particulière, et en plus, on dort le vendredi soir à l'internat, entre danseurs uniquement. On se réveille un peu plus tard le samedi matin, et c'est la grande aventure que de descendre les sacs d'internat jusqu'au forum. Et puis, on danse toute la journée. Dedans, normal. Et surtout dehors. Dans le parc. Et on voit ces têtes, habituelles du festival : les bénévoles des loges, du micro (...), les techniciens de la régie... Et on danse encore, du matin au soir. On regarde de la danse. On vit danse ce samedi là. On aimerait vivre danse tout le temps.

18 mai 2008

16. H I P - H O P

Mecredi 14 mai, Forum de Falaise
Pas de Quartier, Cie Le Théatre du Voile Déchiré (Sarcelles)

"Prenant pour thème principal la mixité, née des attaches profondes qui nous lient à l'Afrique Noire et aux guetthos américians, point de la culture Hip Hop, ce spectacle met en exergue la difficulté du rapport à l'autre, à l'étranger."

C'est sur une scène, non pas dansée, mais quasi théâtralisée de guerre que s'ouvre le spectacle. Chaque flash de lumière est accompagné d'un bruit de bombe qui explose, et les corps sursautent, et tombent au sol. ou plutot, les corps sautent en l'air et s'écrasent sur le sol. Il y a des morts. Et oui, la guerre, c'est triste. En fait, c'est le film Indigènes qui revit sur la scène du forum. Jamel en moins. Mais les tableaux s'enchainent. Et après les combats, vient le retour au pays, sans les récompenses ou même les remerciements. Rentrez chez vous. Montrez vos blessures. Et dans les colonies, on se partage entre haine de la patrie, ou amour par dessus tout. Le tout avec humour. Après les fêtes, la rencontre, le mariage, solo pour le maire d'une ville colonisée. Et c'est d'une reconstitution dansée de l'Histoire avec un grand H qu'on passe à la reconstitution de l'historique du milieu du hip hop : battle au centre du propos, et c'est bien sur le public qui choisit les vainqueur. Entre temps, démonstration pure des performances de chaque danseur : face au public, sous la douche, regardez, je sais faire le grand écart. Après apogée du spectacle, à savoir, tableau avec Beat-Box, qui remplace la danse, qui alors ne revet que le rôle secondaire, c'est le bouquet final : tous les danseurs se retrouvent dans un unisson presque parfait, face public. Ce qui étonne : la fin de l'unisson, agencé de tel manière qu'il empiète déja sur les saluts.

Le risque était de nous faire une narration pure et dure des problèmes que la Seconde Guerre Mondiale a causé dans les colonies. De faire de ce spectacle de hip hop, culture qui se veut revendicatrice, un spectacle au message politiquement correct. Et c'est le cas. Des intermèdes de chansons populaires de soldats et de rap au message toujours politiquement correct viennent combler le vide entre les tableaux, laissant ainsi le temps aux autres danseurs de se changer pour la suite. "Laisse la danse parler" qu'on nous ordonne. Et bien soit, mais quand est-ce qu'elle va revenir la danse ? Heureusement, ce qui sauve le spectateur de ce cours d'histoire un peu original, c'est l'humour, et la traditionnelle joie que les danseurs de hip hop arrivent à communiquer au public, dans chaque représentation. Leurs sourires sont contagieux. Leurs mouvements sont drôles. Dommage que le hip hop ne soit ici que démonstration de performance. Malgré quelques tableaux à tendance poétique (trop rares malheureusement !), c'est la démonstration qui l'emporte. Dernière chose : dommage que la vidéo, en fond de scène, n'est pas été plus exploitée. On la remarque vraiment quand, au moment des saluts, elle nous révèle le "blaz" de chaque danseurs. Le reste du temps, elle se fond dans le décors, constituté du seul rideau noir du fond de scène. Pas de chance. 

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18 mai 2008

15. Once upon a time...

- United Kingdom -

Love <3 :
Hyde Park - Oxford Street - Mind the Gap - Black cab - Scrambled eggs - Mark & Spencer - Ecleston Square - Tower Bridge - Starbucks Coffee - English language -

Don't Love </3 :
English people - British sandwich "the parisian" - Speak english

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